바르셀로나에 머물 법도 하지만 절묘한 타이밍이다. 최근 메시가 바르셀로나를 떠나겠다는 폭탄선언을 하며 축구계가 발칵 뒤집혔다. 메시의 차기 행선지로 맨시티가 손꼽힌다. 막대한 자금력뿐만 아니라 메시와 호흡을 맞췄던 과르디올라 감독이 지휘봉을 잡고 있다. 이런 가운데 베히리스타인 단장이 바르셀로나에 머무르고 있어 이적에 대한 추측이 오가고 있다.
‘카데나 세르’는 “맨시티는 메시 영입을 위해 노력하고 있다. 그에게 2년 계약을 제안할 것이다. 메시는 35세까지 맨체스터에 머물 수 있고, 그 이후에는 어떤 제안이 던져질지 알게 될 것이다”면서 “카타르와 일본행을 선택한 사비나 이니에스타와 달리 메시는 챔피언스리그에서 바르셀로나를 상대로 싸울 것”이라 설명했다.
한편 메시 아버지와 바르셀로나 수뇌부의 만남이 열릴 것으로 보인다. 오는 수요일이나 목요일이 유력하다. 이 매체는 “메시와 바르셀로나 사이의 합의를 도출하기 위한 목적으로 개최된다”고 덧붙였다.
In Polen sind Pferdeasyle und Tierheime durch die Covid-19-Pandemie in Not geraten. In einem Dorf im Westen des Landes kümmert sich eine Stiftung um abgeschlagene Tiere. Wir haben sie besucht.
"Angst ist kein guter Ratgeber, Panik erst recht nicht. Aber wir wissen nicht mehr weiter!", stöhnt Ewa Mastyk, die Vorsitzende der Stiftung Centaurus im niederschlesischen Szczedrzykowice (Spittelndorf) bei Breslau in Westpolen. "Wir sind Europas größtes Pferdeasyl. Zur Zeit betreuen wir 572 Pferde. Aber bei uns haben auch Hunderte Katzen und Hunde Schutz gefunden, außerdem Esel, Lamas, Schafe und andere Tiere", sagt die 38-Jährige.
Bislang engagierten sich weit über 10.000 Menschen im Centaurus-Ekoklub und finanzierten mit monatlichen Minispenden das Heu für die Pferde. Firmen als Großsponsoren übernahmen den Ankauf neuer Pferde, kostspielige Operationen oder auch den Aufenthalt in einem Pferde-Reha-Zentrum. ...
September 01, 2020 at 01:53AM
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Das letzte Zuhause für alte und kranke Pferde - Panorama - Badische Zeitung
tinggalaja.blogspot.com
Sächsische Forscher haben einen Corona-Antikörpertest entwickelt, der zuhause angewendet werden kann. Der Test, den Forscher der Universität Leipzig und die Firma Adversis Pharma in den vergangenen fünf Monaten gemeinsam erarbeitet haben, wurde am Montagmittag in Leipzig vorgestellt. Im Gegensatz zu anderen Tests ist man bei der neuesten Variante...
August 31, 2020 at 10:22PM
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Forscher aus Sachsen entwickeln Corona-Antikörpertest für zuhause - Freie Presse
L’ASM Clermont Auvergne a demandé à la préfecture du Puy-de-Dôme une dérogation pour pouvoir accueillir 10 000 spectateurs. Selon le préfet Philippe Chopin, satisfait des mesures sanitaires prises par le club lors de son dernier match, il n’y a « pas de raison » de refuser cette demande.
L’ASM Clermont Auvergne souhaiterait pouvoir accueillir 10 000 spectateurs lors de son prochain match au stade Marcel-Michelin, face au Stade Toulousain. Une demande de dérogation qui semble raisonnable au préfet du Puy-de-Dôme Philippe Chopin. « J’ai d’abord fait une réunion avec le président Jean-Michel Guillon, puis je suis allée sur le terrain car je suis un homme de terrain, j’aime bien me rendre compte par moi-même. J’ai vu que les mesures qu’on m’avait présentées dans le plan « papier » étaient respectées », a affirmé le préfet. En effet, il s’est rendu au match samedi 29 août et a semblé satisfait des mesures sanitaires prises par le club, qui avait alors obtenu une dérogation pour 6 000 spectateurs.
Les dirigeants sont sérieux, le public est extrêmement discipliné.
Philippe Chopin
« Si la situation ne se détériore pas et si le match peut avoir lieu, on va discuter de la dérogation, 12 000 ou 10 000, en tout cas il y aura une jauge supérieure parce que ce club est très sérieux. Les dirigeants sont sérieux, le public est extrêmement discipliné et donc il n’y a pas de raison qu’on n’accorde pas cette dérogation si la situation sanitaire est la même dimanche », a ajouté le préfet. Selon nos confrères du Figaro, 3 cas positifs de coronavirus COVID 19 auraient été recensés parmi les membres du Stade Toulousain, remettant en cause la tenue du match dimanche 6 septembre.
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September 01, 2020 at 12:44AM
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ASM Clermont Auvergne : le préfet favorable à l'accueil de 10 000 spectateurs face au Stade Toulousain - France 3 Régions
Beyrouth (AFP) - Poignées de mains chaleureuses, passants médusés qui ne savent pas qui c'est, puis des coups sur sa Mercedes et des slogans antipouvoir. Dans un quartier dévasté de Beyrouth, l'accueil réservé lundi au nouveau Premier ministre donne le ton des défis qui l'attendent.
Les habitants du quartier de Gemmayzé n'ont pas immédiatement reconnu cet élégant technocrate aux cheveux grisonnants soigneusement coupés, en chemise blanche immaculée et cravate sombre, venu effectuer une visite surprise.
Petit à petit, ils découvrent leur nouveau Premier ministre Moustapha Adib, dont la nomination vient d'être annoncée.
L'air décontracté, le chef du gouvernement parcourt la longue rue pavée bordée d'immeubles éventrés ou à moitié effondrés et de commerces sinistrés.
Une scène qui n'est pas sans rappeler la visite d'Emmanuel Macron le 6 août, venu s'afficher en homme providentiel dans ce quartier deux jours après la terrible explosion du port de Beyrouth qui a fait au moins 188 morts.
Le président français s'y était toutefois offert un bain de foule au milieu des habitants et des volontaires qui l'ont accueilli à bras ouvert, en conspuant les responsables libanais, jugés responsables de la catastrophe.
"Qui est-ce? Un ministre canadien?" demande un gardien de sécurité qui voit passer M. Adib, ancien ambassadeur du Liban en Allemagne rentré pour endosser son rôle de nouveau venu en politique.
Le Premier ministre entre dans une épicerie. Puis une boucherie et un pressing avant de serrer la main du propriétaire d'un restaurant.
Bien souvent, les vitres des façades qui ont volé en éclats n'ont pas encore été remplacées.
Quelqu'un demande à se prendre en photo avec lui. D'autres filment la scène avec leurs portables.
Il y a aussi les volontaires, mobilisés dès les premières heures pour déblayer les gravats ou apporter de l'eau et de la nourriture aux plus nécessiteux, l'État ayant été aux abonnés absents.
M. Adib échange quelques mots à un stand de "manakichs", tenu par des volontaires, où on lui offre une de ces traditionnelles galettes au thym.
Un peu plus loin, il serre la main à d'autres volontaires qui font des cartographies du quartier. C'est qui?, demandent-t-ils après son départ.
"Qu'est-ce qu'il aime le show", ironise l'un d'eux en apprenant son identité. "Dites-lui qu'on a fini le travail. C'est trop tard".
- "Un d'entre vous" -
Le pas sûr, le ton feutré, le nouveau Premier ministre a voulu renvoyer l'image d'un homme rassurant et proche d'une rue longtemps ignorée, sans vraiment convaincre.
"Je vais faire tout ce qui est en mon pouvoir", a-t-il ainsi promis à un passant, le visage couvert à moitié par un masque, coronavirus oblige.
"Je suis venu ici immédiatement, personne n'était au courant, je suis venu pour vous dire je réclame votre confiance". "Je suis un d'entre vous", a-t-il lancé un peu plus tard.
"C'est positif, c'est le premier à venir sur le terrain voir les gens et leur parler", reconnait Tony Kiyame, un boucher. "Mais on veut des actions, pas des paroles".
"Voilà la corruption", lance plus loin un pharmacien en colère au passage de M. Adib.
"Ce sont des salauds" lâche en français Paul Sakr. "Cela fait un mois qu'on n'a vu personne. Il vient d'être nommé, il vient faire de la propagande", poursuit le pharmacien, un habitant du quartier depuis 35 ans.
Près de l'imposant siège de l'Electricité du Liban, symbole suprême de la gabegie publique dans un pays toujours en proie à des coupures de courant chroniques, la tension monte d'un cran.
"Révolution révolution", scandent des volontaires à proximité du bâtiment, transformé par l'explosion en grande carcasse de béton aux vitres béantes.
"Révolutionnaires libres, on va continuer le chemin", ajoutent-t-ils.
"On ne te veux pas, on ne te reconnaît pas", hurle une dame, prenant à partie le Premier ministre. "Nos enfants sont morts".
Le chef du gouvernement finit par remonter prestement dans sa Mercedes noire. La visite s'achève sur un violent coup de main sur le coffre, un coup de pied sur une portière du véhicule, qui quitte le quartier par une rue parallèle.
August 31, 2020 at 08:55PM
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Dans un quartier sinistré de Beyrouth, un accueil en demi-teinte au nouveau Premier ministre - L'Obs
Société. "La demande est là et l’offre ne suit pas. Il faudra mieux rémunérer les familles accueillantes et les aider à prendre des congés".
L’accueil familial, serait-ce une solution pour les personnes âgées et handicapées ? L’Indépendant a posé la question à la députée de la 3e circonscription Mireille Robert en mission parlementaire sur l’accueil familial, dans le cadre de la future loi Grand âge et autonomie (GAA). Elle revient en détail, sur cette alternative peu utilisée qui devrait devenir plus attrayante pour les accueillis et les accueillant.
"Depuis trois ans, je participe aux travaux parlementaires concernant nos aînés. Je suis co-rapporteure de la proposition de loi sur l’accueil familial. Je me suis intéressée à cette solution méconnue, malgré ses trente ans d’existence et ses révisions législatives. Elle peine à se développer alors qu’elle s’intègre parfaitement entre le logement inclusif et le placement en institution". L’accueil familial s’adresse aux seniors mais aussi aux personnes en situation de handicap. Elles sont hébergées au sein d’une famille, par un accueillant rémunéré. Elle retrouve un foyer, près de son cadre habituel de vie, avec un service personnalisé, une vie sociale riche et active, en fonction des capacités de chacun. "Ces caractéristiques m’ont donné envie de promouvoir et de faire évoluer ce modèle d’accueillants et d’accueillis".
Selon la députée, dans l’Aude, ce dispositif fonctionne bien, et une soixantaine de familles accueillent des aînés et quelques personnes handicapées. "Mon souhait est de développer ce dispositif dans mon département mais aussi sur le plan national. Toutefois la situation des accueillants et des accueillis n’est pas entièrement satisfaisante".
Il faut revoir, explique l’élue, les priorités des personnes âgées. "Rester au domicile tant que cela est possible, est le souhait le plus partagé. C’est pour cela que nous repensons et développons l’habitat inclusif. Mais il faut aussi se préoccuper de l’Ehpad de demain, en tenant compte à la fois des tarifications élevées pour les familles, du manque de personnel et de leur faible rémunération". Pour la députée Mireille Robert, entre les deux il existe l’accueil familial.
L’accueil familial c’est du sur-mesure entre la maison et l’Ehpad ?
Tout à fait. C’est une rencontre entre une famille qui décide de partager son quotidien et une personne qui ne peut ou ne souhaite plus vivre seule. Au fil de mes nombreuses visites en Occitanie et dans l’Aude, j’ai pris conscience que chaque accueil est différent,
Pourquoi ce dispositif est-il si peu développé ?
Le recrutement est difficile. L’accueil familial est exigeant il faut faire du 24 h sur 24 et du 7jours sur 7. Le salaire des accueillants est souvent trop bas et c’est sans compter les difficultés rencontrées pour prendre ses congés. Il existe une forte demande pour très peu de foyers accueillants. À Limoux par exemple il n’existe qu’une famille accueillante, ce qui est dérisoire. Je l’ai rencontré avec ses quatre accueillis.
Quelles sont vos propositions ?
Il faut développer et faciliter le travail des accueillants en permettant de trouver plus facilement des places pour les accueillis. Tout en préservant les avantages et les bienfaits de cette solution. Le nombre de places, la rémunération des accueillants, leur formation, un système de mutualisation des familles par secteur, tout en gardant un prix attractif pour les accueillis, seront nos priorités.
September 01, 2020 at 01:52AM
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Limoux : l’accueil familial, une solution pour les personnes âgées - L'Indépendant